16 octobre 2007
Sur la piste (tala tala talalala)
Ce n’est pas parce que je n’ai rien à faire que je n’ai rien à dire. Ou plutôt, ce n’est pas parce que je n’ai rien à dire que je ne peux rien faire. Ou peut être alors : si j’avais moins de trucs à faire, j’aurais plus de trucs à dire. Enfin, tu auras saisi l’idée ami lecteur, amie lectrice, non, non, rien a changé ; tout, tout a continué (yeah yeah) et me voici de nouveau légèrement débordée. (oué oué ça jouotte un peu là quand même)
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